Cher visiteur,
Notre site internet est en cours de transformation en vue d’intégrer l’ensemble des éléments formant le nouveau projet de la fondation.
Nous sommes impatients de pouvoir vous faire découvrrir ceci dans les prochaines semaines.
La Fondation Marcel Mariën
Notre site internet est en cours de transformation en vue d’intégrer l’ensemble des éléments formant le nouveau projet de la fondation.
Nous sommes impatients de pouvoir vous faire découvrrir ceci dans les prochaines semaines.
La Fondation Marcel Mariën
Rachel Baes
Rachel Baes
Ixelles 1912 - Bruges 1983
Née dans une famille de peintres, Rachel Baes choisi la peinture comme profession à un très jeune âge. « Comme toutes les femmes qui se respectent, j’ai commencé à peindre des fleurs . ». Après des débuts plus classiques, son travail prend un tournant décisif en 1940, suite au choc subit à cause de l’exécution de son ami Joris Van Severen. Elle se réfugie alors dans une peinture onirique et tendue, presque grinçante, se détachant de la représentation réaliste et adoptant un style personnel, qu’elle développera tout au long de sa carrière. Dès le milieu des années 1940, (elle est) connue et reconnue par les surréalistes, aussi bien bruxellois que parisiens . En 1945 Paul Eluard la remarque et collabore avec elle. André Breton s’enthousiasme également pour sa peinture originale et proche à l’esprit surréaliste. Entre temps elle collabore avec les membres du groupe surréaliste de Bruxelles, dont Magritte, pour qui elle est à la fois muse et collègue.
Rachel Baes
.
André Breton s’enthousiasme également pour sa peinture singulière et proche de l’esprit surréaliste. Elle collabore régulièrement avec les membres du groupe surréaliste de Bruxelles, dont Magritte, pour qui elle est à la fois muse et collègue.
Rachel Baes
.
L’œuvre de Rachel Baes est, comme celle de chacun des membres de ce groupe, d’une grande originalité qui transcende les sentiments particuliers et nous amène dans une dimension à la fois universelle et personnelle.